Vous êtes pressé de réaliser votre projet de vente immobilière à Orléans ? Sachez que pour réduire le délai de vente dans un tel projet, les 5 éléments suivants sont à maîtriser.
L’estimation du bien
Sur le marché de l’immobilier, il n’y a pas de transaction effectuée sans un prix fiable à proposer à l’acheteur. L’estimation du bien est, en effet, une étape cruciale qu’il convient de réussir en dégageant un montant en cohérence avec les prix du marché. Sans cela, le bien peut rester plus longtemps sur le marché ou faire l’objet d’un rabais.
La rédaction de l’annonce immobilière
Une annonce immobilière réglementaire ne suffit pas forcément pour vendre rapidement. Pour être assez attrayante, celle-ci doit aussi être de qualité, notamment en présentant les informations que l’acheteur veut trouver, en étant bien illustrée ou encore en étant publiée sur les bonnes plateformes. Elle retiendra ainsi l’intérêt d’un maximum de candidats à l’achat du bien.
Le bon moment pour vendre
S’il s’agit de votre premier projet de vente immobilière à Orléans, sachez que le marché de l’immobilier fait montre d’une saisonnalité à laquelle vous pouvez vous fier pour profiter d’un meilleur délai de vente. Ainsi, vendre au printemps permet de trouver plus facilement un acquéreur car la demande y est la plus forte de l’année. Les prix seront également les plus élevés.
L’état du bien
L’état du bien que vous ferez découvrir à vos potentiels acheteurs peut grandement influencer le délai de concrétisation de votre projet de vente immobilière à Orléans. En effet, si le bien regorge de défauts, il fera fuir les acheteurs à cause des dépenses de réparation onéreuses qu’il peut engager. Au contraire, un bien correctement mis en valeur retiendra plus facilement leur attention et se vendra plus vite.
Les démarches administratives de la transaction
Une transaction immobilière répond à des démarches administratives complexes dont le délai de réalisation minimal est de deux mois et demi, période pouvant cependant être rallongée par différents éléments tels que la non-réalisation des diagnostics obligatoires à temps ou encore la complexité des conditions suspensives de l’acheteur.